Les médicaments qui rendent fou
"Dans l'histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d'ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue"
"Vous n'êtes pas fou !" : syndrome de sevrage des drogues médicales
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You are not going crazy: Side effects of stopping psychiatric drugs.
source : fou sur ordonnances
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- Reflux d'acide
- Analgésiques
- Anti-asthmatique
- Anti-acné
- Médicaments anti-arythmiques
- Médicaments anticoagulants
- Anticonvulsivants
- Anti-démence
- Antidépresseurs
- Antihistaminiques
- Antihypertenseurs
- Anti-infectieux
- Anti-nausée
- Anti-psoriasis
- Antipsychotiques
- Anti-tabac et anti-alcool
- Anxiolytiques (tranquillisants)
- Thérapies anticancéreuses
- Contraceptifs
- Agents modificateurs de la maladie
- Agonistes de la dopamine
- Endométriose
- Hypnotiques
- Ménopause
- Stabilisateurs d'humeur
- Statines
- Stéroïdes
- Stimulants
- Peu probable
- Écoulement urinaire
- Perte de poids
- Xeno-pharma
Anticonvulsivants
- Carbamezépine (CARBATROL, TEGRETOL)
- Clonazépam (KLONOPIN)
- Ethosuximide (ZARONTIN)
- Felbamate (FELBATOL)
- Fosphénytoïne (CEREBYX)
- Gabapentin (NEURONTIN) **
- Lamotrigine (LAMICTAL)
- Lévétiracétam (KEPPRA)
- Lorazépam (ATIVAN) *
- Oxcarbazépine (TRILEPTAL)
- Phénytoïne (DILANTIN)
- Prégabaline (LYRICA) *
- Primidone (MYSOLINE)
- Tiagabine (GABITRIL)
- Topirimate (TOPAMAX)
- Acide valproïque (DEPAKENE)
- Zonisamide (ZONEGRAN)
Antihistaminiques (ce sont des médicaments en vente libre, et trop nombreux pour être listés)
- Azélastine (ASTELIN) *
- Injection de chlorphéniramine
- Cyproheptadine (PERIACTIN)
- Desloratadine (CLARINEX) *
- Injection de diphenhydramine
- Hydroxyzine (ATARAX, HY-PAM, VISTARIL)
- Olopatadine (PATANOL)
Benzodiazépines
- Amitriptyline et chlordiazépoxide (LIMBITROL) *
- Chlordiazépoxide et clidinium (LIBRAX) **
- Clonazépam (KLONOPIN)
- Clorazépate (TRANXENE) *
- Estazolam (PROSOM) *
- Flurazépam (DALMANE) *
- Halazépam (PAXIPAM) *
- Lorazépam (ATIVAN) *
- Oxazépam (SERAX) **
- Prazepam (CENTRAX) *
- Quazépam (DORAL) *
- Témazépam (RESTORIL) *
Sédatifs aux benzodiazépines
- Eszopiclone (LUNESTA)
- Zaleplon (SONATA)
- Zolpidem (AMBIEN)
Corticostéroïdes
- Bétaméthasone (ALPHATREX, DIPROLENE, DIPROSONE)
- Cortisone (CORTONE)
- Dexaméthasone (DECADRON, HEXADROL, MYMETHASONE)
- Fludrocortisone (FLORINEF)
- Hydrocortisone (ALA-CORT, HI-COR, HYTONE, AVANTAGE LIQUIDE À L'OXYGÈNE LIQUIDE NEACLEAIRE, PÉNÉTRANT, SYNACORT, CORTEF, HYDROCORTONE)
- Méthylprednisolone (MEDROL)
- Prednisolone (PRELONE)
- Prednisone (DELTASONE)
- Triamcinolone (ARISTOCORT, KENALOG, TRIACET, TRIDERM)
Médicaments utilisés pour traiter la maladie de Parkinson
- Benztropine (COGENTIN) *
- Bromocriptine (PARLODEL) **
- Entacapone (COMTAN) **
- Entacapone avec lévodopa et carbidopa (STALEVO) **
- Selegiline / deprenyl [oral] (ELDEPRYL) **
- Tolcapone (TASMAR) *
Antibiotiques de fluoroquinolone
- Ciprofloxacine (CILOXAN, CIPRO) **
- Gatifloxacine (TEQUIN) *
- Gemifloxacine (FACTIVE) *
- Lévofloxacine (LEVAQUIN) **
- Lomefloxacin (MAXAQUIN) **
- Moxifloxacine (AVELOX) *
- Moxifloxacine [collyre] (VIGAMOX)
- Norfloxacine (CHIBROXINE, NOROXINE) **
- Ofloxacine (FLOXIN) **
- Ofloxacine [œil] (OCUFLOX)
- Sparfloxacine (ZAGAM) *
- Trovafloxacine (TROVAN) *
H2-antagonistes (généralement associé au delirium seulement)
- Cimétidine (TAGAMET)
- Famotidine (PEPCID)
- Nizatidine (AXID)
Opiacés (généralement associés au delirium seulement)
- Acétaminophène et codéine (APAP, TYLENOL AVEC CODEINE)
- Acétaminophène et hydrocodone (BANCAP-HC, LORTAB, VICODIN)
- Acétaminophène et oxycodone (PERCOCET, ROXICET, TYLOX) **
- Aspirine et oxycodone (PERCODAN) **
- Butalbital, acétaminophène et caféine (ESGIC PLUS, FIORICET) *
- Butalbital, caféine et aspirine (FIORINAL) *
- Butalbital, caféine, aspirine et codéine (FIORINAL AVEC CODEINE) *
- Butorphanol (STADOL) *
- Fentanyl [patch] (DURAGESIC) **
- Hydrocodone et ibuprofène (VICOPROFÈNE)
- Hydromorphone (DILAUDID)
- Meperidine (DEMEROL)
- Pentazocine (TALWIN) *
- Pentazocine et naloxone (TALWIN-NX) *
- Tramadol et acétaminophène (ULTRACET) *
Antidépresseurs tricycliques
- Amitriptyline et chlordiazépoxide (LIMBITROL) *
- Amitriptyline et perphénazine (TRIAVIL) *
- Amoxapine (ASENDIN) **
Autre
- Digoxine (DIGITEK, LANOXICAPS, LANOXIN)
- Lithium (ESKALITH, LITHOBIDE, LITHONATE)
Nous explique cette internaute
interferon bêta
une dépression sévère avec idées suicidaires ou tentative a pu être observé pendant le traitement de la SEP par interféron
Interféron : effets secondaires graves
suicide, troubles psychiatriques, morts subites, dépression, idées suicidaires...
Médicaments aux propriétés anticholinergiques, drogues anticholinergiques
liste de plus de 70 médicaments: Ces molécules qui mettent en danger la vie des seniors (les médicaments qui ont un effet dit «anticholinergique» favorisent la mortalité des personnes âgées.) Le Figaro cite des tranquillisants tels que Largactil, Terfluzine, des antitussifs tels que Broncalene, Broncorinol, des antidépresseurs tels que Elavil, Laroxyl, Tofranil, des antihypertenseurs comme Atenolol, des diurétiques comme Aldalix, Furosemide, des antiashmatiques comme Asmabec, Beclojet, des antiépileptiques comme Tegretol, des molécules prescrites dans le traitement du glaucome telles qu’Azarga, Combigan, Cosopt ou pour les incontinences urinaires comme Ditropan, Oxybutynine;;;
Alzheimer sur ordonnancesAlimemazine, Alprazolam (xanax) , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate , Bupropion, hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone, Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine, Dextropropoxyphene , Diazepam (valium), Digoxin, Dipyridamole, Disopyramide, Fentanyl, Fluvoxamine , Furosemide , Haloperidol (haldol), Hydralazine , Hydrocortisone , Isosorbide , Loperamide, Metoprolol , Morphine , Nifedipine , Prednisone/Prednisolone, Quinidine , Ranitidine, Theophylline , Timolol maleate , Trazodone , Triamterene
Score 2 (effet anticholinergique modéré):
Amantadine , Belladonna alkaloids , Carbamazepine (tégrétol) ,, Cyclobenzaprine , Cyproheptadine, Loxapine, Meperidine , Methotrimeprazine , Molindone, Oxcarbazepine, Pethidine hydrochloride, Pimozide
Score 3 (effet anticholinergique sévère):
Amitriptyline , Amoxapine, Atropine , Benztropine , Chlorpheniramine, Chlorpromazine , Clemastine, Clomipramine , Clozapine, Darifenacin , Desipramine , Dicyclomine , Diphenhydramine, Doxepin , Flavoxate, Hydroxyzine (atarax), , Hyoscyamine , Imipramine (tofranil), Meclizine, Nortriptyline , Orphenadrine , Oxybutynin ,Paroxetine (déroxat), Perphenazine , Procyclidine , Promazine , Promethazine, Propentheline , Pyrilamine , Scopolamine , Thioridazine, Tolterodine, Trifluoperazine , Trihexyphenidyl , Trimipramin
Les organophosphorés (OP) utilisés comme insecticides (IOP) sont responsables d’une mortalité élevée par intoxication. Par ailleurs, les neurotoxiques organophosphorés (NOP) sont les éléments essentiels de l’arsenal chimique militaire moderne pouvant être utilisés à des fins terroristes.
Risque accru de déclin cognitif et de mortalité lié aux médicaments anticholinergiques couramment prescrits : De nombreux médicaments consommés régulièrement par les personnes âgées augmentent les risques de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude britannique publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. Ces médicaments sont utilisés pour le traitement de nombreuses conditions de santé. Ces médicaments, vendus sans ordonnance ou prescrits, ont un effet anticholinergique, c’est-à-dire qu’ils réduisent les effets du neurotransmetteur acétylcholine (un neurotransmetteur est une molécule qui permet le «passage» de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse à l’autre).
Les problèmes de mémoire sont souvent dus à des médicaments : Les médicaments utilisés pour le traitement de l’insomnie, de l’anxiété, des démangeaisons et des allergies peuvent avoir des effets négatifs sur la mémoire ou la concentration des personnes âgées, selon une étude de l’Université de Montréal. Jusqu’à 90 % des personnes âgées de plus de 65 ans consomment au moins un médicament d’ordonnance. 18 % des gens de ce groupe d’âge se plaignent de leur mémoire et présentent des troubles légers de la cognition. La recherche suggère qu’il y aurait un lien à faire entre les deux situations, concluent les chercheurs.
Effets indésirables neurologiques causés par les médicaments : Anticholinergiques… : Ce sont de classiques pourvoyeurs de syndromes confusionnels, mais aussi de troubles amnésiques aigus et régressifs : la scopolamine entrave l’apprentissage et le codage de l’information dans la mémoire à long terme ; de même, le trihexyphénidyle (Artanet) affecte les acquisitions récentes, ce que démontre la pratique neurologique quotidienne, chez le parkinsonien âgé, par exemple ; un modèle expérimental utilisant la scopolamine chez l’animal ou chez l’homme est utilisé dans l’évaluation pharmacologique de diverses molécules supposées agir sur la mémoire ou pour expliquer a posteriori certains effets secondaires médicamenteux constatés cliniquement ; ces effets dysmnésiants des anticholinergiques confirment, en quelque sorte, le fait maintenant bien établi que l’acétylcholine est un neurotransmetteur essentiel aux processus de mémorisation comme en attestent aussi les troubles mnésiques des démences de type Alzheimer et leur réponse thérapeutique aux inhibiteurs de la cholinestérase.
Ces médicaments qui font risquer la démence : Les agents anticholinergiques dans le viseur. C’est une substance présente dans les médicaments qui est responsable de cette dégradation : l’anticholinergique. Un agent anticholinergique trouble la communication entre les neurones et donc dégrade la mémoire, l’apprentissage et l’activité musculaire. Il est présent dans de nombreux médicaments comme l’antidépresseur doxépine, le somnifère diphénhydramine, ou même l’oxybutynine.Selon l’étude, publiée aux Etats-Unis dans le Journal of the American Medical Association, Internal Medicine, il suffit d’être exposé pendant trois ans, à quelques milligrammes par jour de ces médicaments pour courir un risque élevé de démence. Elle est la première à définir ce risque sur les individus de 65 ans et plus et indique qu’il pourrait persister même après l’arrêt des traitements. Au total, 23% des participants ont développé une démence, et pour le vérifier, certains participants ont signé pour une autopsie de leur cerveau après leur décès.
ANTICHOLINERGIQUE : des médicaments courants accroîtraient le risque de démence
Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques, on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).
Des médicaments qui provoquent un début d’Alzheimer : Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier).
Alzheimer sur ordonnance : le débat, en vidéo
Chimiothérapie du cancer
Dépression et idées suicidaires induites par des médicaments
antidépresseurs, anti-épiléptiques, beta-bloquants, benzodiazépines, amphétamines, chimiothérapies, antihistamniques....
champix, chantix pour l'arrêt tabagique
Effets secondaires du champix : un recours collectif autorisé au Canada
La Cour supérieure de l'Ontario a autorisé un recours collectif pour les Canadiens qui ont consommé le médicament Champix entre le 2 avril 2007 et le 31 mai 2010 et qui allèguent avoir subi certains effets secondaires indésirables.
Le recours collectif réclame des dommages et allègue qu'entre ces dates, Pfizer Canada Inc. a omis de fournir un avertissement adéquat quant aux risques. Pfizer Canada nie les allégations.
anti-cholestérols : inutiles mais très dangereux
Levothyrox
Neuroleptiques et forte dépendance induite par les médecins
antibiotiques, antibiotiques quinolones et fluoroquinolone
Antihypertenseurs et bêta-bloquants
IPP / "inibiteurs de pompe a proton" / Ésomeprazole, Mopral, Inexium
Vaccins, adjuvants et métaux lourds
Le Dr. Haley présentera des données appuyant l’hypothèse selon laquelle le mercure et d’autres substances toxiques sont à la source de la maladie d’Alzheimer, de l’autisme et d’autres affections neurologiques. Les recherches montrent que le mercure pourrait être la cause de bon nombre d’anomalies biochimiques retrouvées dans le cerveau des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Les expériences faites sur des animaux ont permis de révéler que les vapeurs de mercure provoquent ces mêmes anomalies. Le thimérosal, un agent de conservation qui contient de l’éthylmercure, est utilisé dans les vaccins et sa neurotoxicité est supérieure à celle du mercure. Il serait donc l’un des principaux agents responsables de l’autisme
Autisme et vaccins
initiative cytoyen
La maladie d'Alzheimer n'est pas due à la fatalité : Les liens entre cette pathologie et mercure en bouche sont établis depuis presque vingt ans,mais on nous fait croire qu’il faut de l’argent pour la recherche, alors qu’il faudrait plutôt financer une autre politique dentaire et l'élimination des métaux lourds que ces patients ont accumulés dans leur organisme, en particulier dans le cerveau, au cours de leur existence Métaux lourds qui proviennent le plus souvent des amalgames posés depuis l’enfance. Cette élimination n’est pas très compliquée et reviendrait tellement moins cher que de médiquer ces malades à outrance sur des durées moyennes de 10 ans … "Vérités sur les méladies émergentes" explique comment on peut stopper l’évolution de la maladie. Mais le plus simple n’est-il pas tout simplement de bannir les amalgames une bonne fois pour toute comme on vient de le faire en Norvège ? On verrait ainsi diminuer de 80 % le nombre de ces malades qui font les choux gras des fabricants de médicaments à nos frais, car au bout du compte qui paie les cotisations à la sécurité sociale ?
Les hallucinations après vaccins : Luigi, il y a 84 ans, quelques mois a commencé à prendre le tramadol (25 mg / jour) pour la douleur lombaire, puis mis en suspension. Il subit un traitement pour le diabète, la bronchite chronique et la cardiomyopathie ischémique et prend répaglinide (1,5 mg / jour), le salmétérol et de fluticasone (50 um / 500 mg deux fois par jour), allopurinol (150 mg / jour), la digoxine (0,625 mg / jour), le pramipexole (0,18 mg / jour), l'olmésartan (20 mg / jour), le pantoprazole (20 mg / jour) et le diltiazem (240 mg / jour).
Après le vaccin contre la grippe, il éprouve un malaise et décide, par lui-même, pour redémarrer en prenant tramadol pendant trois jours. Cinq jours après la vaccination, il commence à halluciner, devient agressif et violent et est hospitalisé et traité avec halopéridol et promazine.
Dans ce cas également, la visite neurologique et le CT excluent les causes organiques pour Luigi: tramadol est alors interrompue et hallucinations disparaissent dans les 24 heures.
Antidépresseurs
Peu de temps après que le Prozac est devenu le médicament Best-seller dans le monde dans les années 1990, j’ai proposé qu’il y avait peu ou pas de preuves de l’efficacité, mais de nombreux éléments de preuve que la drogue pourrait aggraver la dépression et causer de graves anomalies comportementales. J’ai attribué une grande partie du problème de « changements compensatoires » en neurotransmetteurs comme le cerveau résiste à l’effet de la drogue. Depuis lors, dans une série de livres et articles, j’ai documenté induite par l’antidépresseur de l’aggravation clinique et certaines de ses causes physiques. Maintenant, l’idée a gagné du terrain dans la collectivité de la recherche et a récemment été nommée « dysphorie tardive ».
Nouvelle recherche sur pourquoi les antidépresseurs peuvent aggraver les effets à long terme…..Est-ce antidépresseurs aggravent l’évolution à long terme de la dépression ? Comme je l’écrivais dans Anatomy of an Epidemic, je crois qu’il ya des preuves convaincantes que les médicaments font exactement cela. Ces derniers livres ajoutent à cette base de données probantes…..Au début des années 1990, El-Mallakh notes, seulement environ 10% à 15% des patients atteints de maladie dépressive majeure avait résistante au traitement dépression (et donc étaient malades chroniques.) En 2006, les chercheurs ont rapporté que près de 40% des patients étaient désormais traitement résistant. Dans une période où l’utilisation des antidépresseurs ISRS a explosé
La dépression résistante aux traitements chroniques et semble être en augmentation. L’identification récente de tachyphylaxis antidépresseur, la perte d’efficacité antidépressive au fil du temps, n’est qu’une explication partielle. Il s’agit d’une preuve nouvelle que, chez certaines personnes, l’utilisation persistante des antidépresseurs peut être prodepressant.
Les individus, âgés de 25 ans et au-dessus, qui prennent des médicaments ISRS doivent savoir qu’ils ne sont pas à l’abri du risque suicidaire (voir ci-dessus) ou les nombreux effets secondaires associés à ces médicaments.Les effets secondaires courants comprennent l’anxiété, la dépression, maux de tête, douleurs musculaires, douleurs à la poitrine, nervosité, insomnie, somnolence, faiblesse, changements de la libido, tremblements, bouche sèche, irritée estomac, perte d’appétit, des étourdissements, des nausées, des éruptions cutanées, des démangeaisons, le poids gain, la diarrhée, la perte de cheveux impuissance, la peau sèche, des douleurs thoraciques, de la bronchite, troubles du rythme cardiaque, des contractions musculaires, l’anémie, l’hypoglycémie et la thyroïde faible. Prozac seule a été associée à plus de 1.734 décès par suicide et plus de 28.000 réactions indésirables .
200.000 personnes meurent chaque année des médicaments sur ordonnance, mais seulement 20.000 meurent à la suite de l’utilisation de drogues illégales
Plus de 2.000 suicides liés au Prozac ont été signalés jusqu’à l’automne 1999 à l’agence états-unienne du médicament (FDA). Ce risque était connu des laboratoires, et lors de procès intentés aux Etats-Unis à la firme GSK, on a appris l’occultation délibérée du risque suicidaire du Déroxat, majoré chez les enfants. Depuis, les antidépresseurs portent un « label noir » aux Etats-Unis et ne peuvent être prescrits en ville qu’aux personnes âgées de plus de 24 ans. En France, certaines estimations parlent de 3.000 à 4.000 suicides par an, liés aux antidépresseurs
« Ce qui est le probable c’est qu’il y ait des sous-groupes de neurones à sérotonine qui sont hyperactifs chez les personnes déprimées, plutôt que sous-actifs comme il a été généralement assumé« , dit Lowr
les antidépresseurs dans le top des médicaments qui tuent
La sérotonine est un neurotransmetteur qui influe sur notre humeur, le sommeil et l’anxiété. Des niveaux élevés conduisent à l’anxiété, et de faibles niveaux à la dépression. Les ISRS (inhibiteurs sélectifs du recaptage de la sérotonine) sont des médicaments sur ordonnance utilisés pour réguler les niveaux de sérotonine dans le cerveau, communément appelés les antidépresseurs. Les antidépresseurs comme le Prozac, le plus « populaire », le Zoloft, le Paxil, l’Effexor, et le Lexapro peuvent conduire à une akathisie, une condition caractérisée par une agitation constante, souvent associés à un comportement antisocial, à la violence et au suicide. Très ironiquement, les antidépresseurs peuvent rendre votre dépression encore pire. La dysfonction sexuelle, le saignement gastro-intestinal, les maladies cardio-vasculaires, et les troubles de l’humeur ne sont que quelques-uns de leurs effets secondaires potentiellement mortels.
Antidépresseurs, violences et suicides
Au contraire, les études menées sur certains ISRS (les premières mises en garde dans la littérature spécialisée concernant la Fluoxétine datent déjà de 1983[1]) ont montré une augmentation des passages à l’acte auto- et hétéro-agressifs et ce non seulement chez des patients avec un diagnostic de dépression mais aussi, ce qui est encore plus inquiétant, chez les volontaires sains
Ces médicaments qui tuent : quelle responsabilité des systèmes de santé et des médecins ?
60 % de prescriptions ou de médicaments inutiles sont vendus 10 à 100 fois leur prix de revient à 25 millions de bien-portants, « souffrant » de maladies qui n'existent guère, inventées par l'industrie pour son profit
il est raisonnable de penser que le prozac peut-être associé à 156.060 décès par suicide et 2 520 000 réactions indésirables
Les individus, âgés de 25 ans et au-dessus, qui prennent des médicaments ISRS doivent savoir qu'ils ne sont pas à l'abri du risque suicidaire (voir ci-dessus) ou des nombreux effets secondaires associés à ces médicaments Les effets secondaires courants comprennent l'anxiété, la dépression, maux de tête, douleurs musculaires, douleurs à la poitrine, nervosité, insomnie, somnolence, faiblesse, changements de la libido, tremblements, bouche sèche, irritée estomac, perte d'appétit, des étourdissements, des nausées, des éruptions cutanées, des démangeaisons, le poids gain, la diarrhée, la perte de cheveux impuissance, la peau sèche, des douleurs thoraciques, de la bronchite, troubles du rythme cardiaque, des contractions musculaires, l'anémie, l'hypoglycémie et la thyroïde faible.
Prozac seule a été associée à plus de 1.734 décès par suicide et plus de 28.000 réactions indésirables
L’antidépresseur peut-il lui aussi induire un comportement violent à l’égard de soi ou d’autrui ?
Le risque de suicide est connu depuis quasiment toujours : pour des raisons probablement promotionnelles, on a voulu l’oublier avec les nouveaux antidépresseurs (type fluoxétine et apparentés), mais il a fallu se rendre à l’évidence et se rendre compte qu’ils n’étaient pas ces médicaments « miracles » que l’on avait célébrés depuis la fin des années 1980. Pour ce qui concerne la violence à l’égard des autres, l’une des plus récentes études disponibles[1] identifie plusieurs dizaines de médicaments hautement suspects, dans lesquels on retrouve certes des benzodiazépines : mais le risque de loin le plus net semble lié aux médicaments qui augmentent la disponibilité de la sérotonine ou de la dopamine au niveau du cerveau, à savoir et comme par hasard les nouveaux antidépresseurs (fluoxétine et apparentés) et, plus encore, la varénicline (sevrage tabagique).
«probablement 50 000 personnes se sont suicidées sur Prozac depuis son lancement, au-delà du nombre qui aurait fait si elle n'est pas traitée. "
Procès de Francis Proulx: une autre psychiatre met l'Effexor en cause
Une seconde psychiatre a attribué mardi le meurtre de Nancy Michaud à l'Effexor, l'antidépresseur que consommait Francis Proulx.
Colombine survivor met en garde contre les dangers des antidépresseurs
Le premier antidépresseur Eric Harris a été donnée était Zoloft. Dans les six semaines suivant la prise du médicament signalés Eric qu'il avait des pensées suicidaires et homicides. Il est clair médecins soupçonnaient l'antidépresseur, car ils l'ont arrêté le médicament immédiatement. Eric Harris a été prise d'utiliser ce médicament mais a été mis sur Luvox.Le Luvox fit aussi avoir des pensées violentes et meurtrières intention Eric Harris tué des étudiants de Columbine. Les familles de Columbine a déposé une poursuite en justice contre Solvay, le fabricant de l'antidépresseur Luvox. Les compagnies pharmaceutiques ont menacé de contrer sue aux victimes de Columbine pour un résultat toutes les victimes ont rétracté leurs poursuites judiciaires, sauf Mark Allen Taylor.Mark s'est levé à la pression et d'intimidation par la compagnie pharmaceutique qui a eu grand-chose à perdre par la publicité causée par Marc histoire tragique des victimes
« Pousser les enfants au suicide avec les pilules du bonheur. »
professeur peter Gotzsch (anglais)
Suicide chimiquement induits : 80 pour cent des victimes de Suicide prend des antidépresseurs
Pas un seul mot est écrit au sujet du fait plus convaincant : plus 80 % des personnes se tuer ont été traités avec des médicaments utilisés en psychiatrie," écrit de Janne Larson.l
Neurontin et lyrica = assimilés benzodiazépines
Pfizer a payé 83,6 millions $ au gouvernement fédéral et 68,4 millions $ pour les 50 États et le District de Columbia. En outre, Pfizer a accepté de payer aux États un total de 38 millions de dollars
GABAPENTIN, NEURONTIN & LYRICA- WHEN MEDS CAN KILL YOU
LYRICA Kills , belive me I could tell ya a story and will
Traitement Hormonal Substitutif (THS),
Traceur chimique pour l'IRM
Opioïde
Benzodiazépines / somnifères / anxiolytiques
Un autre effet secondaire des somnifères est la dépression.
L'industrie du somnifère voudraient vous faire croire que l'insomnie mène à la dépression, ce qui peut être vrai de temps en temps. Elles impliquent que les somnifères pourrait prévenir la dépression. Il n'en est rien. Les essais contrôlés de zaleplon, le zolpidem, eszopiclone et rameltéon mentionnés dans les documents NDA FDA montrent un taux plus élevé de développer une dépression chez les personnes compte tenu des somnifères par rapport à ceux sous placebo. Cela signifie que les somnifères amener les gens à avoir plus de dépression. Peut-être que le mécanisme commun est que l'insomnie mène à dormir utilisation de la pilule, qui à son tour conduit à la dépression. Il a été prouvé très clairement que dormir utilisation de la pilule est associée à des taux de suicide très élevé, mais encore, la preuve que les somnifères provoquent une augmentation suicide est fondée sur la preuve solide que les pilules causent la dépression, ainsi que des taux très élevés de suicide observée parmi ceux qui sont connus pour avoir pris des somnifères.
Oui. Et je pense qu’il y a une explication, qui est liée à l’augmentation des arrêts respiratoires (en durée et en fréquence) que provoquent les benzodiazépines pendant le sommeil. Or, on sait parfaitement que ce syndrome d’apnée du sommeil aboutit à des tableaux démentiels.
pire que l’héroïne !
analogue de la GnRH : Lupron, Enantone, Décapeptyl, Zoladex, Synarel, Eligard, Gonapeptyl... Traitement du cancer de la prostate et de l'endometriose
Alzheimer sur ordonnances
cortisone et corticoïdes
Propécia / finastéride / contre la chute des cheveux
propécia (contre la chute des cheveux)
Suicide et impuissance
A ce jour au moins 5 hommes se sont suicidés, conséquence directe de prendre la pilule contre la perte de cheveux, le Propecia (finastéride). Sur ce site , nous vous montrerons la dévastation totale causée par cette prétendue inoffencive drogue propecia.. Vous pouvez lire des histoires de leurs proches, des vidéos et des podcasts en ligne, à partir de la plupart des familles des victimes. Le fabricant de ce médicament est Merck. C'est une compagnie pharmaceutique corrompu qui c'est démontré au fil des ans pour le commerce des vies humaines pour le gain financier !!!
J’ai contacté UFC QUE CHOISIR qui ma conseillé d’alerter l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des Produits de Santé) dans le cadre de la pharmacovigilance (c’est eux qui ont décidé que le minixodil n’avait plus besoin d’ordonnance…
Les hommes qui ont développé la persistante des effets secondaires sexuels tandis que le finasteride (Propecia), un médicament couramment utilisé pour la calvitie, ont une forte prévalence de la dépression et les pensées suicidaires, selon une nouvelle étude de chercheurs de l’Université George Washington.
""Cette maladie te vole ta personnalité, tout ce qui te passionne. Tu ne ressens plus l'amour. J'aurais à la limite pu faire une croix sur les femmes, mais je ne peux même pas avoir une activité intellectuelle.""Il a du mal à se concentrer, à mémoriser, surtout à court terme. Il peine à lire. En fait, Gilles écoule souvent ses journées à regarder des vidéos sur internet. Impossible de travailler, voire de sortir de chez lui. Il angoisse. Il vit du RSA.
anti-épileptiques
Lariam / anti-palu
Rassembler des personnes victimes le l' intoxication au antipaludéens de synthèse
Lariam (antipalu) : Robert Bales quitté la base dans le milieu de la nuit et auraient tué 17 civils afghans (y compris les enfants) dans le sang froid et blessé 6 autres
Épisodes psychotiques sur Lariam ne sont pas rares. Rapports aller en profondeur dans l'histoire du médicament ( qui est intéressant ), et les problèmes ont même été observés dans des contextes militaires. Il a été signalé que Larium peut avoir causé quatre hommes militaires à tuer leurs épouses à l'été 2008. Meurtres au Royaume-Uni en 2002 ont également été associée à Lariam. Même les groupes d'anciens combattants ont pris position contre la drogue
Médicaments contre l'asthme
Cody Miller, 15 ans, s'est suicidé après avoir pris le médicament pendant seulement 17 jours.
Apnée du sommeil provoquée par les médicaments et démence